Maëva Caeiro – Responsable de secteur volante

Une direction : le secteur social

Maëva Caeiro travaille à l’ADAPA depuis trois ans dans le service des « volantes ». Etudiante, nouvelle embauchée, puis Responsable, elle a rapidement su faire ses preuves au sein de l’association pour y évoluer. Nous vous présentons son parcours !

Dès le début de ses études, Maëva a trouvé sa place dans le secteur social. De 2017 à 2019, elle suit un BTS dans l’économie sociale et familiale (ESF) à Lyon et travaille en tant qu’aide à domicile lors des vacances scolaires et des week-ends.
Elle s’initie alors à l’entretien du logement, l’aide aux repas, l’aide aux courses, l’accompagnement aux activités, l’aide à la toilette… et est formée à l’utilisation du lève-personne.

« Le milieu de la personne âgée, c’est quelque chose que j’aime vraiment. Echanger avec eux, partager les expériences et les connaissances. Travailler dans l’humain c’est fort et riche en apprentissages. Il faut juste savoir se lancer ! »

Avec un premier pied dans le médico-social, Maëva découvre par le biais de stages un autre métier de l’aide à domicile : celui de Responsable de secteur. Gestion d’équipe, coordination, visites à domicile, traitement des nouvelles demandes, entretiens d’embauche et entretiens individuels, planification, lien avec partenaires… L’envers du décor lui plaît immédiatement.

Si son BTS n’aboutit pas, suite à ses stages, Maëva est déterminée à devenir Responsable de secteur. Avec Pôle Emploi, elle débute une nouvelle formation pour atteindre cet objectif, durant laquelle elle entre pour la première fois à l’ADAPA. En tant que stagiaire sur le secteur de Bâgé-le-Châtel, sous la responsabilité de Julie Robin, elle approfondit ses connaissances et découvre d’autres facettes du métier :

« Ce qui m’avait marquée, c’est le lien entre les aides à domicile et la Responsable, et leur cohésion » se souvient-elle.

Une détermination qui porte ses fruits

En 2020, le Covid chamboule le monde et la période de stage de Maëva se voit suspendue.

Loin de rester oisive, cette dernière met son temps à profit :
« Au lieu de rester chez moi à ne rien faire, je suis partie en service Covid pendant 2 mois, en EPHAD ».
Là-bas, elle se montre très polyvalente en tant qu’ASH (Agent de service hospitalier) et intervient parfois en renfort des collègues infirmières et aides à soignantes.

Forte de cette expérience, Maëva postule ensuite à l’ADAPA en tant qu’Assistante de secteur volante. Elle débute ainsi un nouvel emploi au siège de l’association, avec un CDD sur la période estivale suivi d’un CDI, signé en parallèle de l’arrivée de son premier enfant !

Ayant su concilier sa vie personnelle et sa vie professionnelle, elle fait ses preuves en tant qu’Assistante et devient Responsable de secteur volante en octobre 2021. Au quotidien, elle assure désormais la gestion de secteurs fixes (Champagne-Virieu et Lhuis) ainsi que des autres secteurs lors des congés ou absences des Responsables.

Responsable de secteur volante, un métier d'organisation et de contact

Parmi les « volantes », c’est le challenge lui plait :

« Avoir plusieurs équipes, plusieurs secteurs et plusieurs manières de travailler. Ça requiert d’avoir une bonne organisation, pour gérer plusieurs secteurs avec des problématiques différentes. Je me suis améliorée ! »

Evidemment, sa première motivation reste le lien entre les personnes et la bonne ambiance entre les équipes :
« Ce que je préfère c’est le contact avec les salariées : être avec elles en réunion, échanger sur des situations ou sur les conditions de travail pour trouver des solution ou alternatives ensemble.
Au bureau, les volantes sont soudées et solidaires. C’est ce qui fait toute la différence car notre métier est assez stressant, avec une charge assez importante, donc il faut avoir une équipe sur laquelle on peut compter. »

Au final, si Maëva avait rapidement trouvé sa voie dans le secteur de l’aide à domicile, c’est à l’ADAPA qu’elle souhaite poursuivre son parcours professionnel :
« L’ADAPA est en accord avec mes valeurs et principes. Les bénéficiaires sont bien accompagnés, les aides à domicile sont plutôt bien entourées et elles peuvent avoir une bonne conciliation entre leur vie personnelle et leur vie professionnelle. »

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