Gladys Jacquet – un univers, plusieurs métiers
Gladys Jacquet fait partie de ceux qui ont écumé l’ADAPA en y évoluant en cohérence avec ses aspirations. Aujourd’hui, découvrez son parcours et comment elle a découvert différents métiers tout en bénéficiant de la mobilité interne de l’association.
Le premier pas : bifurquer dans le social
Après un BTS en Management des Unités Commerciales, Gladys se rend compte de sa préférence pour le milieu social. Elle se réoriente alors en BTS puis en licence en Economie Sociale et Familiale. Une étape décisive dans son parcours à venir !
Avant même de débuter son nouveau BTS, elle a déjà un pied à l’ADAPA : la jeune femme profite d’une période estivale pour y travailler en tant qu’aide à domicile. Pendant deux mois, elle découvre le métier et apprécie le contact avec les bénéficiaires.
Par la suite, dans le cadre de ses études, elle revient à l’ADAPA pour y réaliser un stage en tant que Responsable de secteur sur Bâgé, puis rejoint à nouveau l’association lors de ses vacances scolaires, cette fois comme Responsable de secteur volante (RSV). Les RSV assurent la continuité de service en l’absence des Responsables de secteur.
Le métier lui plait et à la fin de ses études, elle rejoint l’équipe des « volantes » au siège de l’ADAPA !
En volante ou sur la terre ferme ?
Là-bas, elle apprécie autant la bonne ambiance que la diversité des secteurs dont les « volantes » peuvent prendre la responsabilité : « J’aimais ne pas avoir de secteur fixe et au besoin, il y avait toujours des collègues pour m’aider » se souvient-elle.
Cette diversité lui plaît, mais ses envies évoluent avec le temps. Lorsqu’un poste de Responsable de secteur se libère sur Trévoux (antenne fusionnée avec Jassans-Riottier aujourd’hui) Gladys saisit sa chance, postule et est retenue !
Elle débute alors un nouvel emploi à Trévoux, complété de quelques heures à Jassans-Riottier en appui de sa collègue, alors en temps partiel. Cette dernière part ensuite en retraite et Gladys devient responsable des deux secteurs, où elle apprécie particulièrement nouer le contact avec les bénéficiaires.
Reculer pour mieux sauter
Après quelques années sur secteur, Gladys ressent le besoin de revenir au sein d’une équipe et d’être plus entourée. Elle s’ouvre alors à de nouveaux horizons et intègre de nouveau un poste de RSV, qu’elle occupe pendant une année.
En 2020, elle est prête à repartir à l’assaut des secteurs, cette fois sur Pont de Vaux. Là-bas, elle noue des liens plus forts avec les Responsables des secteurs voisins : « J’aime bien travailler seule mais j’aime aussi être en contact avec mes collègues, donc quand je me sens seule je les appelle ou vais travailler sur leur antenne. J’ai trouvé un équilibre ! »
À Pont de Vaux, Gladys semble donc avoir trouvé sa place : « Avec du recul, je préfère maintenant avoir un secteur fixe. La connaissance des partenaires et des bénéficiaires est plus fine et j’apprécie le lien créé avec les équipes. Même si la gestion des personnels demande de l’énergie, le lien est très enrichissant et j’accorde beaucoup d’importance à ce point-là. »
En conclusion, si Gladys s’est toujours sentie bien à l’ADAPA, c’est notamment grâce à la politique de mobilité interne prônée par l’association qu’elle a pu évoluer au fil de ses besoins, pour exercer un métier qui lui tient à cœur tout en faisant valoir ses propres attentes.
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